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Le cheval  un vraix bonheur

14 septembre 2008

Naruto

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14 septembre 2008

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14 septembre 2008

TROP TRISTE

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Je m'appelais Meigo, j'avais des maîtres très gentils. Ils prenaient soin de moi, et la petite fille me donnait toujours des carottes et des pommes. L'été j'étais dans un pré magnifique, pleins de fleurs qui sentaient bon, et l'hiver, on me mettait dans un box toujours propre.
Un jour que j'étais attelé pour aider mes maîtres à emmener leurs légumes au marché, nous arrivâmes sur un chemin caillouteux, glissant, pleins de bosses et de trous. Mes maîtres me demandèrent de galoper. Je n'étais pas sûr, c'était dangereux. Ils me redemandent, je pars au galop. Je leur faisais confiance, jamais ils ne m'emmèneraient dans un endroit dangereux. Jamais ils ne me feront de mal...
Mais je mis le pied dans un trou très profond et je suis tombé, la charrette se retournant sur moi. Mes maîtres criaient. Après un instant noir, je sentis la charrette se soulever, puis quelqu'un me tirer par la bride. Je me suis levé, mais je suis retombé. Mon antérieur gauche me faisait souffrir horriblement. La petite fille criait, je ne comprenais pas ce qu'elle disait. Mes maîtres insistèrent, je me suis relevé.
Avec beaucoup de mal, je revins à la maison. Je savais qu'après ces terribles souffrances je découvrirais les bons soins de ma famille. Un homme arriva, celui qui venait chaque fois que quelque chose n'allait pas. Il parla à mes maîtres... La femme s'enfouit dans les bras de l'homme et la petite fille se mit à pleurer comme jamais.
Tard dans la nuit, la petite fille me rejoint. Mon pied me faisait souffrir, mais elle y faisait attention. Elle s'allongea contre moi, les yeux ruisselant de larmes et s'endormit.
Jamais je n'oublierais l'odeur de ses cheveux, ni la chaleur de son petit corps tout serré contre moi.
Le lendemain matin, le bruit de la porte de l'écurie me réveilla en sursaut. Je savais que c'était mes maîtres qui venaient pour me prodiguer des soins. J'en étais sûr. Je me suis levé avec difficulté, la petite se réveilla. Des humains que je ne connaissais pas me prirent par le licol et m'emmenèrent dehors. Mes maîtres y étaient, je hennis pour les accueillir. La femme s'enfuit le visage dans les mains, et la petite fille se mit à hurler. Elle se laissa tomber par terre, criant « Non ! Non ! ». Je voulais lui dire de ne pas s'inquiéter, je faisais confiance à ma famille. Ils allaient m'emmener dans un endroit où je serais soigné. Je voulais lui dire que je reviendrais bientôt...
Les hommes me firent entrer dans un camion. Je ne discutais pas, je faisais confiance à mes maîtres.
Il n'y avait ni eau ni nourriture, mais je me disais que c'était normal, jamais on ne me ferait de mal...
Après de longues heures interminables de souffrance, la porte du camion s'ouvrit. On me fit descendre, mais ils voulaient que j'aille plus vite. Un homme sortis un fouet et... AIE ! Il me frappa jusqu'à ce que je me retrouve devant un autre camion, cette fois pleins de chevaux. Je hennis, personne ne me répondit. L'homme me fouetta à nouveau, je suis entré. Pourquoi me fouettait-on ? Je ne faisais rien de mal... mais je faisais toujours confiance en ma famille. Je me disais que ce cauchemar allait bientôt finir, j'allais être soigné.
Dans le camion régnait une odeur de sang et de pourriture. Nous n'avions ni eau ni nourriture. Ma plaie causée par les coups de fouets me faisait mal, elle s'infectait.
Durant tout le voyage, près de la moitié des chevaux moururent. Soudain je vis un petit poulain. Il était seul, il hennissait, appelant du secours, personne n'y prêtait attention. Il devait avoir 5 ou 6 mois. Je le pris à mes côté, le rassurant. Je lui disais de ne pas s'inquiéter, les humains sont gentils, ils ne nous feront jamais de mal.
Après une durée interminable, on nous fit enfin sortir de cet horrible camion. Je respirais enfin l'air frais et sain de l'extérieur. On m'obligeait à avancer, malgré mon pied que je ne pouvais à présent plus poser. Le poulain me suivait, je le rassurais.
Nous entrâmes dans une toute petite pièce où nous durent nous entasser. Il n'y avait pas de place. J'avais faim, très soif et surtout très mal. Je me suis allongé, le poulain se coucha près de moi. Il me rappelait la petite fille.
Des hommes vinrent nous chercher l'un après l'autre. Mais aucun cheval ne revenait.
Puis ce fut le tour du poulain. Il hennissait si fort que tous le regardaient. Il ne voulait pas me quitter. Les hommes le forçaient, mais il tirait de toutes ses forces malgré l'épuisement. Je lui disais de faire confiance aux hommes, de me faire confiance. Jamais ils ne nous feront de mal. Ma famille m'a emmené ici pour me soigner. Je lui disais que je le retrouverais après. Je lui promis de ne jamais l'abandonner. Il s'en alla avec les hommes, continuant de m'appeler.
Ce fut mon tour. Je les suivis, tout heureux de savoir que j'allais enfin être soigné. Ils me tiraient, me fouettaient, mais je ne pouvais pas avancer plus vite...
Je suis entré dans une pièce où un homme m'attendait. Ca sentait fort le sang. Autour se trouvait pleins de corps de chevaux, inertes... je rejoignis l'homme. Il tenait un objet dans sa main. Il empoigna ma crinière, je me laissais faire, bien que je me demandais pourquoi il faisait ça. Drôles de soins tout de même. Il approcha l'objet de ma gorge...
Soudain je sentis une violente douleur ! Je voulus hennir mais aucun son ne sortit. Je suis tombé, sentant mon antérieur craquer une nouvelle fois sous moi. Je n'arrivais plus à respirer. Du sang coulait en abondance de ma gorge en feu. Je me sentais partir.
Soudain je vis le corps du poulain, inerte. Il avait une entaille à la gorge, de même que tous les chevaux présents dans cette pièce. Je compris alors ce qui m'arrivait...
Je mourrais...
Pourquoi les humains nous faisaient-ils cela ? Pourquoi ?
Moi qui les avais servi toute ma vie !
Ma douleur s'amplifiait. Je repensais aux cris déchirants de la petite fille, à la dernière nuit passée avec elle, allongés dans mon box. A l'odeur de ses cheveux, à la chaleur de son corps.
Je repensais au petit poulain abandonné, MON petit poulain, auquel j'avais promis protection. Je lui avais dit que je ne l'abandonnerais jamais... Et pourtant je l'ai envoyé à la mort...
Oui je le retrouverais... Mais pas dans l'endroit que je pensais... malgré tout nous seront plus heureux là où j'étais en train d'aller... J'avais offert ma confiance aux hommes... Et ils me faisaient tellement souffrir... Jamais je ne leur aurais fait ça...
Je voulais demander pardon à la petite fille, car je lui ai fait une promesse que je n'ai pu tenir... Je ne suis jamais revenu...
Je voulais m'excuser auprès de tous ceux à qui j'ai dit de suivre aveuglément les hommes... On ne peut pas toujours les suivre, car ils changent...Ils deviennent méchants... Egoïstes... Nous ne sommes pas des objets.
Je revis une dernière fois l'image du corps sans vie du petit poulain... puis je partis.... Quittant pour toujours cette terre sur laquelle j'avais si bien vécu, mais si mal finit...
J'ai fermé les yeux pour la dernière fois dans une pièce à l'odeur du sang, au milieu de mes amis tués par ceux à qui j'avais donné toute ma confiance...

14 septembre 2008

le journal de Marie

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L'histoire de Marie...
Marie.

Chere journal,
je m'apelle Marie. J'ai sept ans. Ma passion, c'est l'équitation. Ma grand-mère, Sylvia, m'a offert un cheval pour mon anniversaire. Il s'appel Flamme, et sa robe est Alezan. J'aimme beaucoup Flamme, et ma grand mère. Mes parents, ils aiment moins. Je ne sais pas pourquoi. D'ailleurs, j'ignore beaucoup de chose sur eux. Pourquoi ils n'aiment pas que j'aille voir ma grand mère, pourquoi ils ne voulaient pas que je fasse de l'équitation (c'est ma grand-mère qui s'est battu), pourquoi ils ne viennent jamais me voir avec Flamme, pourquoi ils me forcent à manger cette viande rouge bizarre, qui est vraimeent pas bonne.
Bon, je te laisse, c'est l'heure de ma reprise. A demain!

Chere journal,
Hier, c'été super! j'ai sauté un petit peu à l'obstacle avec Flamme et apres, nous sommes parties en balade. A la fin, je lui ai donner une carrote, il était tout content. Lorsque j'en ai parlé à Papa et Maman, au dîner, ils n'ont pas eu l'air de m'écouter. Aucune réaction! Sauf quand je leur ai dit: "Viviane (ma prof) m'a féliciter! Elle a dit que je faisais de gros progrès!" Là, Papa a froncés les sourcils et m'a dit de manger ma viande. Encore cette drole de viande rouge que je deteste.

Chere journal,
Sylvia est tombée malade. Elle à été transporter à l'hopital. Là-bas, c'est tout blanc et ça sens bizarre... Il ne faut surtout pas faire de bruit. Ma grand-mere m'a demandé si j'allais bien, si Flamme aussi et si je faisais des progres. Je lui ai tout raconté, l'obstacle, la ballade et meme comment il était content apres sa carrote. Elle m'a fait un sourir, elle m'a dit que c'était parfait. Puis tout d'un coup, elle m'a serré trés fort la main. Elle était blanche, tres blanche. Sa main est devenue glacée. Elle souriait toujours quand elle m'a dit au revoir. Mais quand elle a relaché, elle ne souriait plus. La machine a côté d'elle a fait un long bruit strident. Les medecins ont accourut. Mes parents m'on poussé dehors.

Chere journal,
Ma grand-mère est morte. Maman n'a pas pleuré, Papa non plus. Moi, je ne suis pas allée à l'école. Maintenant, je vois un monsieur, un psy je crois. Je comprends pas ce qu'il dit à mes parents.
L'autre jour, mes parents ont appellés Béa, ma nounou. J'étais cachée dans l'escalier, alors j'ai entendue leur conversation: "Béa, nous allons aux abatoirs Hippo-Phage. A tout à l'heure." C'est quoi, l'hippophage?

Chere journal,
Aujourd'hui, Papa et Maman m'ont accompagnés au centre équestre. C'était la premiere fois... Viviane pleurait. Je lui ai demandé pourquoi, elle m'a dit d'aller dire au revoir à Flamme. Je n'ai pas compris pourquoi. Mais j'y suis allée quand même. Là-bas, je lui ai dit: " ce n'est pas un adieu, mais un au revoir !" Et je lui ai donné toutes mes carrotes. Même celles du club, Viviane ma permis. Elle m'a dit de monter petit Tonnerre. Je l'aime bien, mais ce n'est pas pareil que Flamme. Tout d'un coup, un gros Van est arrivé en klaxonnant. Petit Tonnerre est tres craintif, et ils s'est cabré. Du coup, je suis tombée. Mais je n'ai même pas eu mal, tellement j'étais intriguée. Oubliant les autres, je suis sortie du manege. Le chauffeur a appellé mes parents: "Y sont où mes sous?!?". Mes parents sont allés chercher Flamme. Arrivé devant le camion, il s'est cabré. Là, le chauffeur à hurler de rire en disant: "Le plus marrant, c'est de les torturer!" et là, il a pris un batons et a frappé les jambes de Flamme. J'ai hurlé. On a essayé de me retenir, je me suis débattue. Flamme m'a jeté un dernier regard, avant de disparaitre dans le camion. Tout le monde pleurait, moi la premiere. Je compris le sens du mot hippoph

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14 septembre 2008

triste non

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un cheval, ca ne se mange pas!!
chaque jour, 850 chevaux sont victime de l'hippophagie en france
soit 310 250 par ans .
ils meurent dans des conditions atroces ( 350 000 en italie, 150 000 en belgique, 80 000 en hollande ) il faut agir!!

est-ce un facon de remercier le cheval qui a partager notre vie, notre passion ? NON

L'HORRIBLE TRAJET QUE SUBIT LE CHEVAL DE CHEZ LUI A VOTRE ASSIETTE:

les chevaux viennent de parcourir quelque MILLIERS de kilométres.
cela fait plus de 20heures qu'ils roulent, ENTASSER les uns sur les autres dans l'espace le plus REDUIT que l'on puisse imaginer.

si reduit qu'il suffit d'un coup de frein un peu brusque pour que les chevaux se retrouvent plaqués contre la paroi du camion, malgré les grosse CORDES qui les retiennent, leur brulant les flancs au moindre choc...

la plupart des chevaux son blessés, souffrent d'infections, déshydratation, de la faim et n'ont plus assez de force POUR SE TENIR DEBOUT!!!

un cheval fatigué est allongé sur le sol...
il est vite relevé "sauvagement " par le convoyeur qui ne souhaite pas arriver a destination avec un cadavre...
ce calvaire va encore durer quelque jours, jusqu a ce que le véhicules rejoigne des abattoirs sordides, ou les chevaux seront ... abattus...

une fois arrivé aux abattoir, le cheval est installé dans une stalles (si on peux appeler ca comme ca !...) ou les pauvres bêtes n'ont pas + de place que dans le camion...

l'heure fatidique arrive en fin, presque un soulagement apres les souffrances que le cheval a enduré

pour être rendu propre a la consommation humaine, les chevaux doivent etre vidés de leur sang .
mais un animal mort ne perdant que tres peu de son sang, ces derniers sont obligé d'être saignés vivants et de décéder par la perte de leur sang...

VOUS AVEZ TOUJOUR ENVIE DE MANGER DU CHEVAL????????????

IL FAUT ARRETER CE MASSACRE ENSEMBLE? COMBATTONS LES HIPPOPHAGES!!!!!!

14 septembre 2008

Petite priere d'un cheval victim de l'hyppophagie

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A toi, mon maître, je dédie cette prière:

Donne-moi souvent à manger et à boire; et, quand ma journée de travail est finie, veille à ce que ma litière soit sèche et propre et mon box suffisamment large afin que j'y sois à l'aise.
Chaque jour contrôle mes pieds soigne-moi avec une éponge humide.
Quand je refuse de manger, examine mes dents ; peut-être qu'un ulcère m'empêche de manger.
Comme je ne peux te dire quand j'ai soif, fais-moi boire souvent de l'eau fraîche et propre, même pendant le travail ; ceci m'évitera la colique et autres maladies.
Parle-moi : ta voix est souvent plus efficace que la cravache et les rênes.
Caresse-moi souvent pour que je puisse apprendre à t'aimer et te servir mieux.
Ne me tire pas la tête vers le haut avec le filet, ce qui me cause de grandes douleurs au cou et à la bouche et m'empêche de développer toutes mes forces et de me sauver des chutes.
Ne me coupe pas la queue, me privant ainsi de ma meilleure défense contre les mouches et les taons qui me tourmentent.
Ne tire pas sur les rênes, et dans les montées ne me donne pas de coup de cravaches. Ne me donne pas de coups, ne me bat pas quand je ne comprends pas ce que tu veux, mais essaye que je puisse te comprendre. Si je refuse, assure-toi que le mors et la bride soient en ordre et que je n'ai rien aux pieds qui me fasse mal. Si je m'effarouche, ne me frappe pas, mais pense que cela peut dépendre de l'usage des ½illères qui m'empêche de bien voir ou de défauts de ma vue.
Ne m'oblige pas à tirer un poids supérieur à mes possibilités, ni à aller vite sur des rues glissantes. Quand je tombe, sois patient et aide-moi, car je fais de mon mieux pour rester debout; et si je bute, sache que ce n'est pas de ma faute ; n'ajoute pas à mon angoisse d'avoir échappé à un danger le mal de tes coups de cravache qui augmentent ma peur et me rendent nerveux.
Essaye de me mettre à l'abri du soleil. Et quand il fait froid, mets-moi une couverture Sur le dos, non pas quand je travaille, mais quand je suis au repos.
Et enfin, mon bon maître, quand la vieillesse me rendra inutile, ne me condamne pas à mourir de privations et de douleurs sous la férule d'un homme cruel, mais laisse moi mourir de vieillesse, au pré, chez un paysan qui me traitera bien ou dans une pension pour vieux chevaux méritants comme nous en avons ou enlève-moi toi-même la vie, sans me faire souffrir et tu en auras le mérite.

MERCI.........

Cavaliers, méditez sur la façon dont vous traitez votre cheval

14 septembre 2008

L'histoire d'ange

J'étais tranquille dans mon box, à réfléchir pourquoi mon cavalier ne venait plus beaucoup me donner de carottes, et ne me montais plus. Soudain un camion est arrivé, avec pleins de chevaux qui appelaient « à l'aide ! » dedans. J'aurais voulu les aider, mais on me mit dans le camion avec eux... et je compris pourquoi ils criaient. On n'allait pas en concours, ce n'était pas le même camion et je ne reconnaissais pas les chevaux. On allait ailleurs. À un endroit qui fait mal. Je le sentais. Mes nouveaux amis était épuisés, ils avaient peur, soif et faim. Vu leurs regards, cela devait aussi faire un long moment qu'il était enfermé là dedans. Quand les "cavaliers" ont refermé la porte, j'ai aussi remarqué qu'une odeure affreuse règnait dans le camion, et qu'il était vraiment très sale. Pendant le trajet, j'ai vu deux petits chevaux qui ne vivaient plus. Le camion allait dans tous les sens et moi je me cognais de partout ! J'allais tomber ! J'avais mal, très mal a mon postérieur droit. Soif, très soif. Faim, très faim. Personne n'avait donné à manger ou à boire à mes amis et moi depuis que j'étais monté dans le camion, et nous n'avions pas pu sortir pour nous dégourdir les jambes, malgrés que cela faisait longtemps que nous étions enfermé dans le camion. Et ça a continué comme ça tout le trajet, à soufrir, à lutter, pour ne pas tomber. Je me posais des questions : mon cavalier, pourquoi m'a t'il envoyé dans ce camion ? Est-ce une erreur ? Il ne pouvait quand même pas avoir fait cela... En faite oui... il ne voulait simplement plus de moi, son fidèle cheval, celui qui lui a fait gagner des prix, du bonheur, etc... Enfin, je crois. Peut-être n'était-il pas heureux du travail que je faisais pour lui ? Pourtant je faisais de mon mieux... On arriva enfin. Des "cavaliers", que je ne connaissais pas venaient nous chercher. C'était dans un endroit bizarre. Ils tapèrent à coup de bâtons les chevaux couchés, qui s'efforcèrent de se lever. Je reçu aussi un coup. Sur mon encolure. Je saignais. J'avais mal. Puis, on m'emmena dans le bâtiment bizarre. Le bruit de mes sabots résonnait. L'odeure de sang qui y règnait me fit paniquer. Je regardais de tous les côtés. J'avais peur ! Je ne comprenais pas ! Je continuais à appeler « à l'aide, à l'aide ! » mais j'étais tout seul avec des "cavalier" brutaux. La suite est floue... J'ai vu quelque chose se planter dans ma tête, ça a fait très très mal. J'étais encore vivant, mais ça n'allait pas durer longtemps. Je poussa un hennisement de douleur. Surement le dernier. J'entendais le bruit que mon cavalier faisait quand il était heureux, des rires je crois. Des choses se passaient sur moi, j'avais très très mal, affreusement mal. Ce n'était plus supportable. Et je me suis endormi, pour toujours..."

14 septembre 2008

Non a l'hyppophagie

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Je pense que tout le monde n'a pas consience de ce qu'ai l'hippophagie ...... L'hippophagie c'est la toture de ces pauvres chevaux .... Pour commencé nos boucheries sont sutout alimentées par les pays de l'est de l'europe ... ( sinon il viennent de france .... leurs propriétaires ce laissaient d'eux ou meme les chevaux de vos club , oui le petit cheval que vous adorier et qui est partit l'an dernier est sans doute partit a la boucherie......)Les chevaux qui viennent de l'est parcourent 36 a 48 heures de voyage des fois sans eau sans nourriture et donc sans aucune pause..... les chevaux sont 26 par camions et les chevaux sont très vieux ou desfois jeunes mais bléssés ou inutiles....durant ce voyage vers la mort , il vont vivre les pires moment de leur vie. Le camion vibre , et les chevaux sont colés les uns aux autres ...ils sont fous donc se donnent des coup de sabots et se mordent .... certains tombent a terre et c'est la mort direct, d'autres a la fin du voyage on un oeuil crevé , une jambe cassé ou du sang partout...certains chevaux ne ressemblent plus a leur noms ... ils ressembles a des betes battues ( ce qui est le cas...)! A la fin de ce voyage d'horreur ( le pire est a venir) des méchantes personnes (les convoyeurs) veulent faire sortir les chevaux mais ceux ci sont bléssés ou affalés sur le sol ... il ne veulent plus se levé alors les convoyeurs leurs lancent une décharge électrique ou des coups de fouet...alors le cheval essay de ce lever ou si il n'y arrive pas il se laisse trainer...des qu'ils sont dehors il sont amenés près d'une plaque d'égout , se font allonger( violament) .... la ils prennent un couteau ( c'est la le pire ) PUIS ILS LUI PLANTE DANS LE POITRAIL ( le cheval est toujours vivant je vous rappelle) POUR LE FAIRE UNE SAIGNEE ....... LE CHEVAL EST SANSER ETRE MEILLEUR KAN IL EST SAIGNER AVANT DETRE MANGER !!!!! ......le cheval soufre soufre et soufre ... il saigne par le poitrail et le suplice dure 3 min avant ke les tueurs l'achève une fois pour toutes en lui donnant un coup de martaut entre les deux yeux ..... mais tous ne meurent pas comme ca ... certains meurent dans une saignée de 7 min ...... vive la souffrance.....le cheval aura vécu une bonne vie avant d'avoir vécu un horrible voyage suivie d'une horrible saignée ....ensuite le pauvre cheval est enlevé de sa peau puis il est vidé et amené a la boucherie ..... A LA PLACE DES MANGEUR DE CHEVAL JE ME SENTIRAIT COUPABLE DONC NON A L'HYPPOPHAGIE !!!!!!

14 septembre 2008

Ma petite pivoine

1983181381_1                  Je t'aime trop pivoine

Pivoine c'est elle la plus belle la plus forte

elle a 5 ans

couleur pie isabelle

tetu

elle aime les calins

elle n'aime pas les cravaches

Elle est la meilleur .....                                             

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Le cheval un vraix bonheur
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